lu en mars 1979
Werther, jeune homme sensible et intelligent, rencontre Charlotte, la jeune femme idéale. Ils se plaisent mais Charlotte est promise à Albert qu’elle épouse peu après. Werther vit près d’eux, très amoureux. Il respecte trop Charlotte pour l’importuner. Il souffre d plus en plus de son amour stérile. Charlotte l’aime mais elle aime aussi Albert qu’elle ne peut imaginer de tromper. Werther, désespéré, se suicide. C’est Gillet qui l’avait conseillé ce livre, classique immanquable. Je m’attendais à une idylle pleurnicharde, exagérément lyrique, et j’ai lu un petit bouquin vif, vrai et charmant. Roman par lettres, lettres allégées. Ce n’est pas un chef d’oeuvre, je n’y vois rien de nouveau ou d’unique mais je conçois qu’il ait pu émouvoir en 1774.