lu en mai 1978
Gil Blas raconte ses aventures depuis le moment où il quitte ses parents pour étudier en faculté jusqu’à sa paisible retraite. 50 années probablement.
Ce roman ressemble à un catalogue d’aventures souvent artificielles, tout y passe: Gil Blas devient cambrioleur, médecin, confident des premiers ministres espagnols. Il raconte ses aventures et les gens qu’il rencontre racontent les leurs.
700 pages de la Pléiade ne se lisent pas en un clin d’oeil. Ce n’est pas vraiment passionnant mais ce n’est jamais ennuyeux ou pénible. Quel dommage qu’on ne sente pas Gil Blas vivre et respirer comme un être humain. Trop romancé.
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