lu en novembre 1977
Il m’est arrivé d’en dévorer 200 pages d’affilée tant c’est intéressant. Les bijoux (= sexe féminin) par l’effet d’une bague magique que possède un Prince, se mettent à raconter tout ce qu’ils ont vu. Oeuvre assez libertine, oui. Lecture prenante lorsqu’on guette les passages un peu lestes. Quelques remarques philosophiques par-ci par-là pour donner un côté sérieux mais qui me laissaient froid.