lu en avril 2012
Les premières pages sont intéressantes car elles ressemblent à peu près à un Journal : il raconte des rencontres, des envies, des désirs, présente quelques personnes mais très vite cela devient une suite de rêves plus ou moins poétiques, morbides, politiques et cela ne m’intéresse plus du tout. Il me semble que le premier livre que j’ai acheté de ma vie était ce livre de Ginsberg chez 10/18 avec la couverture verte. C’était mon goût pour l’Amérique né de la musique. Cette Amérique contestatrice des années 60. J’ai gardé le goût pour la musique, perdu celui de la politique.