lu en janvier 2011
Germinie, en 1860, est la bonne d’une vieille aristocrate ruinée. Elle s’amourache d’un petit voisin qui lui rend la vie dure. Elle emprunte, se ruine pour lui qui lui en fait voir de toutes les couleurs. Pendant ce temps elle s’occupe de Mademoiselle au mieux et celle-ci lui témoigne constamment une grande affection. Elle s’éloigne du voyou mais pour mieux le retrouver et elle meurt d’une pleurésie. C’est le récit d’une vie difficile qui ne nous épargne rien des malheurs qui frappent les pauvres du temps. Fait partie du réalisme de l’époque. Intéressant.