Assez prenant pour la première moitié, une vraie histoire, ensuite répétitif. L’articulation entre le Oui et le Non ne m’a pas convaincu: le moment où Léon décide de ne pas s’engager avec Cécile repose sur de l’artificiel, c’est quand même tiré par les cheveux.
Les limites du nouveau roman: tout baser sur une idée, un concept et réduire le récit (l’histoire) au strict minimum. L’enchantement a bien faibli, me semble-t-il.