René Girard MENSONGE ROMANTIQUE ET VÉRITÉ ROMANESQUE

lu en août-octobre 1989

Une analyse des mécanismes littéraires qui réclame beaucoup d’attention et de clairvoyance – trop pour moi à ce moment-là. C’est pourtant parfois très intéressant, même si cela me semble répétitif. Il prend pour exemple Cervantés, Stendhal, Dostoïevski et Proust. Il lance d’abord la notion de médiation qui montre que le héros réfléchit, admire, agit selon un modèle extérieur, ou non, au roman.

Je regrette de n’avoir pas été plus disponible en le lisant mais je crois que ce genre d’ouvrage abstrait ne correspond pas à ma tournure d’esprit paresseuse.

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