Alberto Moravia LA CIOCCARA

lu en juin 1989

La narratrice raconte sa guerre 1940-1945. Elle s’est réfugiée en compagnie de sa fille dans la campagne napolitaine. Elle décrit les horreurs de la guerre, les conditions terribles, le viol, le comportement des hommes, souvent égoïste, stupide, monstrueux et attristant. C’est un roman qui, malgré le sujet, l’époque, les personnages, ne m’a pas touché autant que je l’espérais. Quelque chose d’artificiel m’a gêné. Les conditions de lecture, manque de concentration?

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