lu en 1987
Je connaissais Bernis depuis Casanova et je m’attendais à retrouver le personnage savoureux, brillant, vivant. Leurs Mémoires ne se ressemblent en rien. Bernis écrit en homme d’état et ne laisse rien apparaître de personnel, d’amoureux. Purement historique. Sans beaucoup d’agrément. Déception.
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