lu le 6 février 1985
Grippé, je n’avais pas la force d’attaquer Le Rêve Dans Le Pavillon Rouge alors j’ai dévoré ce SAS. Bien construit et d’une lecture facile. L’aspect sexuel tellement grossier – c’est le mot juste – me déplait. Les publicités sont elles aussi indigestes.
Pourtant il faut être juste, j’ai lu ce bouquin avec plaisir.