lu en juin 1985
Très vite le jeune Abbé est introduit dans les milieux littéraires parisiens, aristocratiques souvent. On ne mesure pas l’impression qu’il y produit mais probablement la même qu’à son lecteur, intelligent, sensible, enthousiaste, juste, humain. Amoureux de littérature, Chateaubriand, George Sand, la guerre, l’aveuglement politique lui font honte, le révoltent. Il se plaint également de la sottise, de l’esprit borné des instances supérieures de sa religion, de ces bons chrétiens qui veulent tuer du boche ou du communiste. Humain, merveilleusement humain.
Belle lecture, passionnante, riche.