lu en juillet 1984
Faux Mémoires auxquels on voudrait croire. Byron raconte sa vie. Il parle beaucoup plus d’amour – de sexe même – que de littérature. Lord couvert de dettes il voyage d’abord en Grèce et découvre l’amour des garçons. Il revient en Angleterre, y connait le succès, de nombreuses femmes et le scandale. Enfin riche, toujours amoureux, il fuit en Italie où il arme les Grecs contre l’envahisseur turc. Il meurt d’une grippe.
Pas toujours plausible, ton improbable, mais grandement intéressant. Souvent passionnant.