lu en janvier 1984
Nicolson raconte l’histoire de ses parents, Vita Sackville-West et Harold Nicolson, membres de la haute société anglaise et artistes. Très beau mariage mais Vita fréquente une amie, Violet. Leur tumultueuse liaison fait du bruit et les maris souffrent. Elles finissent par se séparer. Vita aime Harold mais sans aucune attirance charnelle, il s’agit d’estime et de respect. Ils semblent très heureux, elle aune liaison avec Virginia Woolf, avec Geoffrey Scott et lui aura plusieurs amants.
Récit souvent intéressant mais d’une construction complexe du fait de parties écrites par Vita et par Harold. Un récit linéaire n’aurait pas diminué le mérite d l’ouvrage. Un livre rempli d’amertume, lourd des souffrances de jalousie que tous connaissent tour à tour. Je crois au mariage, à l’amour, à la fidélité, à la pureté, à l’absolu. Ce livre en montre l’impossibilité. Que croire? Pas facile.