lu en septembre 1983
Ajar raconte un épisode de sa vie au milieu d’un délire modernisant. C’est si vague, si peu cohérent et suivi, qu’on songe à un pastiche. Pénible à lire malgré quelques mots drôles. Un vide! Livre affligeant, sans le moindre intérêt. Pourquoi Gary a-t-il écrit ça? Il ne peut pas y avoir pris plaisir. Impossible. La vague Ajar ne laissera aucune trace.