lu en février 08
Récit « autobiographique » : de juin à décembre 1940 prisonnier des Allemands. Un récit tendre et humble du quotidien, des difficultés, des copains. Simplicité. Ce n’est pas Primo Levi ni Les Bienveillantes, c’est moins brutal c’est même d’une certaine façon, malgré les morts, assez humain car c’est la tournure d’esprit du narrateur. Un bon bouquin qui se lit vite.