lu le 9 décembre 1980
Le narrateur et son amie Pauline se promènent au Croisic, le long de la mer. Ils rencontrent un pêcheur qu’ils accompagnent jusqu’à Batz. Au cours de la promenade ils aperçoivent un homme immobile, assis sur un rocher. Le pêcheur raconte son histoire. Le fils chéri de cet homme avait mal tourné, allant jusqu’à voler ses parents. Il n’écoutait pas les reproches de son père qui décida de le tuer. La mère mourut quelques jours après et l’homme vint s’installer sur les rochers qu’il ne quitte plus.
Courte histoire touchante qui termine le Tome X des Essais philosophiques, plus faible que les précédents. Moins dense, moins construit, moins romanesque. De bonnes choses cependant: Peau De Chagrin, Melmoth, Massimila Doni, Les Marana, El Verdugo.