lu le 8 décembre 1980
Le jeune comte Andrea Marcosini, milanais exilé à Paris, suit les pas d’une jolie femme d’allure pauvre. Il devient l’ami de son mari, le musicien Gambara qui écrit des symphonies un peu folles et ne raisonne correctement que saoul. Andrea s’enfuit avec Marianna qui revient à son mari des années plus tard. Ils vivent toujours dans la misère.
Petit conte qui traite de la musique, trop longs passages théoriques après un excellent commencement.